Das Kopenhagen-Syndrom

Seejungfrau

La Petite Sirène, seule d’un côté de la rive

Stockholm et son syndrome sont-ils nécessairement notre destin?

http://www.causeur.fr/lars-hedegaard-danemark-islam-35182.html

Il y a des gens avec qui on n’a pas toujours été d’accord, loin de là, mais qu’on aime bien, et dont on voudrait que jamais ils ne nous fissent ressentir du chagrin et de la pitié. Philippe Lançon, à qui je dois d’avoir lu quelques bons livres, en fait partie. Philippe Lançon qui a survécu à l’attaque contre Charlie Hebdo, et qui, sans doute, en souffre encore dans sa chair et son âme. Pour rien au monde, on ne voudrait l’accabler… Mais voilà, invité par Alain Finkielkraut, qui, ce jour-là plus qu’aucun autre, déploya des trésors de bienveillance, de tact et de retenue, le critique littéraire déclara publiquement au sujet de l’attentat du 7 janvier : « Qu’est-ce qu’on a fait pour en arriver là ? Qu’est-ce qui n’a pas marché dans notre contrat social (…) pour que des enfants français en arrivent à entrer dans de tels délires ? » (France Culture, émission Répliques du 12 septembre 2015, 17’)

Enfants, les frère Kouachi ? Un délire, la mise à mort de toute une rédaction (comme le firent les nazis à Vienne en 1938) ? Et ce serait nous qui aurions fait quelque chose ? J’ai tremblé en entendant cela. Et j’ai pensé au fameux syndrome de Stockholm.

Bien sûr, c’est un abus de langage. Prolongement des travaux de Sandor Ferencsy et d’Anna Freud sur l’identification à l’agresseur, le syndrome de Stockholm (en référence à une jeune Suédoise qui avait pris fait et cause pour l’homme qui l’avait prise en otage) correspond à des situations précises auxquelles l’attentat contre Charlie ne correspond pas pleinement. Mais l’expression est passée dans le vocabulaire courant, et le débat sur la dimension réflexe du phénomène déborde largement la seule question « psy ». Stockholm et son syndrome sont-ils nécessairement notre destin ?

L’attitude de Lars Hedegård, historien, écrivain et polémiste islamo-critique qui publie au Danemark un nouveau livre Attentatet (« L’attentat », éditions People’s book, non traduit en français) – un livre mordant, droit, drôle, et qui précisément ne cède pas à la tentation de l’identification à l’agresseur – ainsi que la réception de ce livre par ses anciens contradicteurs prouveraient plutôt le contraire.

Mais avant d’aller plus loin, revenons sur le parcours de Lars Hedegård.

Après le 11 septembre 2001, puis après l’affaire des caricatures publiées par le Jyllands Posten, l’historien marxiste Lars Hedegård s’est engagé dans une critique frontale de l’islam radical, notamment dans la chronique qu’il tenait dans le quotidien conservateur Berlingske Tidende, ou à travers la publication de livres, tel le retentissant I krigens hus, Islams kolonisering af vesten (2006, éditions Hovedland, on pourrait traduire le titre ainsi : « Notre maison en feu, la colonisation de l’Occident par l’islam»).

Les prises de positions radicales et parfois provocatrices de Lars Hedegård lui ont assuré de solides inimitiés et quelques déboires. Il est notamment devenu la bête noire du quotidien de gauche Politiken, son rédacteur en chef, Tøger Seidenfaden, assurant entre autres qu’il se « servait de l’affaire des caricatures pour étaler sa paranoïa et sa vision haineuse du monde. » Quant à l’affirmation d’Hedegård selon laquelle « l’islam moderne était une idéologie dans la droite ligne du communisme et du nazisme » ainsi que quelques autres amabilités du même tonneau, elles lui ont valu une plainte au pénal (il fut relaxé en première instance, condamné en appel, et innocenté à l’unanimité par la Cour Suprême). Mais il fut surtout, après quelques vains rappels à l’ordre, viré du Berlingske en novembre 2008, la droite modérée préférant les gens polis et sans histoires. La fatwa progressiste des médias de gauche fut exécutée par le grand quotidien conservateur, dans un intéressant phénomène de capillarité des interdits qui n’est pas l’apanage de la Scandinavie.

L’affaire ne s’arrête pas là, puisqu’une autre fatwa, celle-là littérale et expéditive, avait été émise par les milieux de l’islam radical.

Le 5 février 2013, un faux postier sonne donc à la porte d’Hedegård et sous prétexte de livrer un colis, tire une première fois, puis tente de tirer une seconde fois, visant la tête de l’écrivain. Par chance, le 7,65 s’enraye et le terroriste s’enfuit. A pied. Rappelons tout de même qu’Hedegaard faisait partie des cinq personnes les plus menacées du royaume… et que l’attentat a eu lieu en plein Copenhague.

La police disposait de peu d’indices (une douille) et d’un signalement vague (un jeune homme d’origine étrangère parlant danois sans accent), et ce n’est que grâce à un impressionnant travail de limier qu’elle parvient à identifier l’agresseur, plus de six mois après les faits. Le suspect est ensuite repéré en avril 2014 à l’aéroport d’Istanbul, appréhendé par la police turque, et incarcéré en attente d’extradition (de parents étrangers, l’homme est un citoyen danois).

Entre temps, le personnel du consulat turc de Mossoul est pris en otage par l’Etat Islamique, et le probable auteur de l’attentat contre Hedegård sera remis en liberté, sans doute dans le cadre d’un accord entre l’E.I et la République turque. Le gouvernement danois de l’époque (socialiste) aurait mollement signifié aux Turcs son désaccord. Quant à l’auteur présumé des faits, selon la presse danoise, il serait aujourd’hui en Syrie, libre, et sans doute pas du côté des Russes.

Parmi les réactions à l’attentat du 5 février 2013, notons que le célèbre blog suédois zaramis.se, évoqua cette tentative d’assassinat comme d’un « un acte idiot », que le groupe danois ProjektAntifa y vit « un cadeau fait à la droite » et la très humaniste Rune Engelbreth affirma que « ce n’était là ni une attaque contre la démocratie, ni contre le Danemark ». Qu’était-ce donc alors ?

Une telle succession d’événements et de malveillances aurait pu déclencher chez Hedegård au minimum un certain abattement, voire une spectaculaire conversion à la politique d’apaisement et de compréhension, tellement en vogue dans notre belle Europe. Il n’en est rien, et de l’avis de tous, jamais l’auteur d’Islams kolonisering af vesten et du récent Attentatet n’aura été aussi en verve. Il ne suffit pas de croiser la mort de très près pour abdiquer ses convictions, son talent et son intelligence.

Le plus intéressant dans cette affaire, c’est l’accueil quasi-unanime reçu par le livre, et surtout celui du Berlingske qui avait mis le trop fougueux polémiste à la porte cinq ans plus tôt.

Lisez plutôt : « Un courage absolument décisif pour la survie d’une Europe libre. (…) Les idées de Lars Hedegård ont failli lui coûter la vie. Les âmes faibles se sont tues (…) Lui préfère mourir que se taire. Du fond du cœur, merci ! »

C’est signé “ dans le Berlingske Tidende du 8 octobre 2015 et c’est un peu comme si Céline Pigalle, ex-patronne d’I-télé, préfaçait le prochain livre d’Eric Zemmour.

Y aurait-il donc, à l’opposé du syndrome de Stockholm, un syndrome de Copenhague, une identification à l’agressé et non à l’agresseur, et un courage qui de proche en proche gagne les âmes danoises ? Seule sur son rocher des rives de l’Øresund, la Petite Sirène semble désormais refuser le chant des sirènes d’en face. Vous savez maintenant de quel côté de la rive passer les fêtes de fin d’année. Vous y serez, précisément, un peu moins seuls.

Deutschland – um 6 Mio. Moslems aufgestockt

Germany Replenishes Itself With 6 Million Muslims

http://www.israelnationalnews.com/Articles/Article.aspx/17488#.Ve03X33ak_4

Im englischen Original auf Arutz Sheva erschienen, Übersetzung:

http://www.pi-news.net/2015/09/deutschland-um-6-mio-moslems-aufgestockt/#more-480564

Bogart und Bergman werden “immer Paris haben.” Für den Rest von uns gibt es kein Paris mehr. Es gibt kein Europa mehr, und das geschieht furchtbar schnell. Millionen verlassen ihre Höllenlöcher in Syrien, im Irak und in Afghanistan für die Fleischtöpfe in Frankreich, Spanien, Italien und in anderen europäischen Ländern, die sie aufnehmen, und die meisten der Länder tun dies freudig, einige etwas zögernd. Deutschland ist das Hauptziel, und Deutschland scheint die Invasion sehr willkommen zu heißen.

(Von Jack Engelhard)

Wir hören aus verschiedenen Quellen (dank der Hilfe Soeren Kerns vom Gatestone Institut), dass in Deutschland bis zum Ende des Jahres die offizielle Zahl der Moslems auf sechs Millionen angestiegen sein wird. Müssen wir buchstabieren, was das bedeutet — Sechs Millionen? Nein, das ist nicht nötig.

Aber man könnte das Vergeltung nennen. Man könnte das Schicksal nennen, denn der Tag naht heran, an dem zur Nationalhymne ein neuer Text erklingt: „Der Koran über Alles.“

Auch wenn Europa niemals unser Lieblingskontinent gewesen ist, so ist dennoch die Quittung, die es erhält, nicht schön anzusehen. Wir sahen die Entwicklung in einem Buch voraus — den perfekten Ansturm islamischer Migration. Aber wer in den hohen Ämtern wollte auf die Warnung achten.

Doch es wird berichtet, dass die Deutschen glücklich sind und diese neue Bereicherung willkommen heißen; überglücklich und unbesorgt, dass diese neue Bevölkerung ihren eigenen besonderen Lebensstil mitbringt und mit anderen Menschen überwiegend nicht gut umgeht.

Versuchen wir es mit Political Correctness und sagen wir einfach, dass der Islam verschieden ist. Verschiedene Vorschriften, und bevor man es merkt, sind es deren Vorschriften, die alles vorschreiben.

Vor einiger Zeit, in einem besonders düsteren Geisteszustand, schrieb ich folgende Worte für Arutz Sheva nieder:

Was euch Herrscher von Europa betrifft, euch und euren Verrat; eines Tages wird euer verschlagener Antisemitismus zurück kehren, um euch heimzusuchen. Ihr habt tausend Synagogen vernichtet, und ihr habt sie mit zehntausenden von Moscheen ersetzt. Wartet nun und seht, was aus dem Boden Ismaels hervorwachsen wird. Eure Kirchen sind als nächstes dran.

Das war damals 2003, und die Vermutung hat sich als richtig herausgestellt.

Der typische Deutsche — wenn es einen solchen überhaupt noch gibt — sagt, der Zustrom ist gut. Warum? Weil die deutschen Geburtsraten zurückgegangen sind. Sie sagen, wir brauchen frisches Blut. Olga, eine schwedische Kellnerin, sagte mir dasselbe über Schweden. „Wir haben keine Kultur“, sagte sie. „Wir brauchen eine frische Kultur.“

Okay! Ihr wollt eine frische Kultur? Ihr werdet eine frische Kultur erhalten.

Ihr wollt frisches Blut? Ihr werdet frisches Blut erhalten. Wartet nur ab.

Ihr wollt hohe Geburtsraten? Ihr werdet hohe Geburtsraten erhalten.

Ungarn versucht den Zustrom zu stoppen — aber die Menschenmassen marschieren weiter. Einerseits verdient eine humanitäre Krise barmherzige Gerechtigkeit. Andererseits wird eine Kultur, die in so großer Zahl eintrifft, die vorhandene Kultur verzehren. Die Bedrohung der Auslöschung von tausend Jahren Tradition.

Damals im Koreakrieg waren amerikanische Generäle besorgt, dass China einfach einen Massenmarsch von Menschen durchführen könnte.

Zehn Millionen Chinesen — UNBEWAFFNET — würden einfach einmarschieren und alle Grenzen ausradieren.

Das geschieht jetzt, kurz zusammengefasst, in Europa. Nur, dass es Moslems sind, die in Europa ihr Lager aufschlagen. Sie brauchen keine Gewehre, um das Angesicht des Kontinents zu verändern. Und macht euch nichts vor, diese Umgestaltung ist ein Drama, das sich stündlich fortentwickelt. So denkt also bei eurem nächsten Urlaub in Europa daran: Lasst eure Bibeln daheim.

Vergesst eure Reiseführer zu den Kathedralen. Frischt eure Kenntnisse in arabischer Sprache auf. Und hütet euch davor, die „No-Go Areas“ zu betreten.

Vergesst Marseille. Einst ein französisches Juwel, ist nun zu einer gefährlichen islamischen Festung geworden.

In England findet eine Vergewaltigungsepidemie von Mädchen und Frauen durch Pakistanis statt, die von einer Willkommenskultur-Regierung importiert worden sind.

So geht es in großen Teilen Europas zu.

Seid vorsichtig, hütet euch vor Schadenfreude. Ja, Europa ist der Kontinent, der seine Juden von der Landkarte gestrichen hat, sechs Millionen auf einmal.

Aber der Zustrom hört nicht in Europa auf. Er geht weiter. Sie erreichen die Vereinigten Staaten in großen Wellen, und sie erreichen Israel.

Sie treffen ein als Migranten, die Zuflucht suchen. Unser Mitleid kennt keine Grenzen. Das ist, wie die Geschichte beginnt. Das ist aber nie, wie die Geschichte endet.

Je nach Einzelfall schulden wir den Flüchtlingen unser Erbarmen, aber es ist seltsam, dass sie nicht die Tore der moslemischen Länder ihrer Brüder eintreten.

Kontinente werden umgewälzt. Der Globus wird auf den Kopf gestellt. Aber dieses Chaos hat eine Methode. Da ist ein Plan.

Eines Morgens werden wir aufwachen und herausfinden, wie der Plan aussieht. Aber dann könnte es zu spät sein.

(Im englischen Original auf Arutz Sheva erschienen, Übersetzung von Renate)

http://www.pi-news.net/2015/09/deutschland-um-6-mio-moslems-aufgestockt/#more-480564

http://jackengelhard.com/biography/

Jack Engelhard ist ein am 20. Juli 1940 Toulouse  geborener jüdischer Buchautor und Journalist. Er wurde weltweit bekannt durch die Verfilmung seines Romans „Ein unmoralisches Angebot“ (verfilmt mit Robert Redford und Demi Moore in den Hauptrollen). Engelhard ist ständiger Kolumnist bei Arutz Sheva, er lebt und arbeitet in New York.

Engelhard, then an infant, escaped the place of his birth, Toulouse, when the Nazis invaded France. The Engelhard family, father, Noah, mother, Ida, sister, Sarah, escaped over the Pyrenees to Spain with the United States a hoped-for destination. However,the doors to America were shut. The family managed to gain entry to Canada, where they lived for some 10 years before finally gaining permanent residence and citizenship in the United States. Engelhard became an American citizen in 1961 and considers himself an American patriot . Engelhard’s writings have been praised for their “moral intensity”

Back in France, Engelhard’s father saw the Holocaust coming. At that time in Toulouse, the Engelhards were a wealthy and prominent family. Industrialists, educators, politicians, rabbis, ministers and priests were among their friends. At the invasion, Noah took steps to save his own family through contacts with the French Resistance. He is also credited with saving the lives of many other families whose lives were at risk. All that cost money and when the family came West, they arrived broke.
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Heute spielt Deutschland Weltmeister in Moral, die Medien sind voll von Edelmenschen, die jede Stimme der Vernunft in Kitsch ertränken und die Kritik an der verheerenden Asyl-Politik kriminalisieren. Deutschland solle Druck ausüben auf die EU-Länder, die die Quoten für die „Flüchtlings“aufnahme,  sprich die Verteilung des Debakels auf alle anderen ablehnen und sich dem Diktat Deutschlands nicht unterordnen wollen. Der Deutschlandfunk ist voll der moralischen Empörung und ruft nach „Druck“ auf Ungarn, auf Polen, Tschechien und die Slowakei. Der deutsche Ruf nach Druck auf die ehemals bereicherten Länder im Osten der EU klingt besonders gespenstisch. Er ruft Erinnerungen wach,  die in Deutschland in einer Welle von Gutmenschentum untergehen, die alles überrollt, was auf die Konsequenzen hinweist. Besonders die Einschleusung von Millionen Moslems, wovon in den Tränendrüsenberichten der deutschen Medien gar keine Rede ist, haben es den deutschen Bessermenschen offensichtlich angetan. Man brüstet sich laut, Deutschland habe den Rest der EU mit seiner vorbildlichen Flüchtlingspolitik „beschämt“.

Die Bedeutung dieser Immigration einer judenfeindlichen Kultur wird in schamlose Selbstgerechtigkeit unterschlagen.  Man kennt keine fremden Kulturen mehr, man kennt nur noch Deutsche, der Islam wird eingemeindet. Islamkritik ist tabu. Allah hält nun offiziell Einzug ins europäische Haus, von dem er Besitz nimmt nach Einladung von Merkel nach Mekka-Deutschland. Das Grundgesetz muss nur noch schariagemäss  nachgebessert und der deutsche Druck auf die noch nicht unterwerfungsbereiten Länder erhöht werden, und fertig ist das EU-Kalifat für die Übernahme durch Erdogan und den IS.

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Turkey’s Shadow War on Egypt Undermines Western Interests
by Burak Bekdil
The Gatestone Institute

http://www.meforum.org/5472/turkey-egypt

How Dangerous is ISIS to Israel?
by Efraim Inbar
BESA Center Perspectives

http://www.meforum.org/5473/israel-isis

«Hate-speech»-Verbot macht Islamkritik mundtot

Kanada: Die politische Klasse kuscht vor dem Islam

Quebec Law Would Stifle Criticism of  Radical Islam
https://richzhh.bluewin.ch/cp/ps/main/richui/main_swisscom#

by Tarek Fatah

Originally published under the title „Quebec Law Would Stifle Free Speech.“ The Toronto Sun  August 25, 2015

    While the rest of Canada is being force-fed the Duffy Senate „scandal,“ in Quebec a proposed law that will label any criticism of Islam or Islamism as „hate speech“ is being quietly pushed through the National Assembly.
    
    Bill 59 will permit Muslims to make complaints to the Quebec Human Rights Commission (QHRC) against anyone critiquing Islam or Islamism, triggering lawsuits for hate speech.
    
    As if that wasn’t enough of an attempt to silence Muslims like me, who have struggled all of our adult lives to expose the perils of Islamism, Article 6 of Bill 59 would „give the QHRC the power to initiate legal proceedings before the Quebec Human Rights Tribunal without having to wait for complaints from the public.“
    
    The leaders of Canada’s political parties have so far kept mum on Bill 59.
    
    While this serious encroachment on freedom of expression and speech is being pushed through the legislative process in Quebec, none of the leaders of Canada’s political parties have uttered a word on the issue. Not Liberal Leader Justin Trudeau, who still has not disclosed what he discussed in his recent closed-door meeting with Islamic leaders in Regina. Not NDP Leader Thomas Mulcair, whose party has a strong base in Quebec and who has acted as if the implications of Bill 59 are of no concern to him. Even Prime Minister Stephen Harper, who has identified Islamism as a threat to Canada, has so far kept mum on the proposed law.
    
    Muslims in Quebec are divided on its merits, with some in favour and some against.
    
    But ironically, some Islamist-promoting organizations and mosques have welcomed Bill 59, notwithstanding the fact they violate it every week when they start their Friday prayers with a ritual invocation that asks Allah to „give Muslims victory over the ‚kufaar‘ (Christians, Jews and Hindus).“
    
    The hypocrisy of Islamists invoking victimhood when it comes to hate speech is laughable.
    
    The hypocrisy of Islamists invoking victimhood when it comes to hate speech is laughable. Multiple times every day, Islamists have no problem depicting Jews as „those who have earned Allah’s anger“ and Christians as „those who have gone astray“ in their prayers, both at home and in the mosque. Then they cry foul when their man-made Sharia laws written in the eighth and ninth centuries are critiqued, sometimes by their fellow Muslims.  Quelle:
https://richzhh.bluewin.ch/cp/ps/main/richui/main_swisscom#

Verfolgung von Korankritikern und Zwitschertöne der Korankosmetikerin

Saudi Supreme Court upholds guilty verdict against blogger for insulting Islam

Associated Press, June 7, 2015:

DUBAI, United Arab Emirates – Saudi Arabia’s Supreme Court has upheld a verdict against a liberal blogger who was flogged in January after being found guilty of insulting Islam and breaking technology laws.

Raif Badawi was sentenced last year to 1,000 lashes and 10 years in prison. He was banned from traveling abroad for 10 years and fined $266,000.

A person close to the case says the Supreme Court’s decision, announced Sunday, has not made clear whether lashings are part of the final verdict. The person, who spoke anonymously for fear of retribution, says that because Badawi’s flogging has been halted since January, the ruling may exclude public lashings….

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Robert Spencer: In the enlightened West, we don’t jail and flog people for insulting Islam. We believe in the freedom of speech and the free exchange of ideas, including the right to criticize ideas one finds wanting in whatever way. In the free and enlightened West, the only thing that will happen to you if you are perceived as insulting Islam will be that you will be excoriated as a racist and a bigot, shunned in all polite company, and if targeted for assassination by Islamic jihadists, blamed for provoking them.

http://www.jihadwatch.org/2015/06/saudi-supreme-court-upholds-guilty-verdict-against-blogger-for-insulting-islam

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Noch ist die Scharia nicht geltendes Recht in Europa, aber das Blasphemieverbot der OIC wird schon respektiert, wo Islamkritiker vor Gericht gezerrt werden, wie Gert Wilders in den Niederlanden, wie Lars Hedegaard in Dänemark oder zuletzt der Satiriker Andreas Thiel in der Schweiz, der nach dem dort geltenden Rassismusgesetz angezeigt wurde aus dem links-islamofaschistischen Denunziantenpool, weil er den Koran zitiert und seine Mordaufrufe kritisch kommentiert hatte in der  Weltwoche . Der grösste Schuft im ganzen Land ist und bleibt der Denunziant.

https://widerworte.wordpress.com/2015/06/02/die-religion-die-ihre-kritiker-mit-tod-bedroht/

Während die Wachhunde der Religionspolizei zuschnappen, mitten in noch existierenden Demokratien Islamkritiker kriminalisieren – sie können sie noch nicht auspeitschen lassen – , läuft im gleichgeschalteten Deutschlandfunk, dieser Brutstube der Islampropaganda, wo man Islamkritik nicht kennt, bzw. sie als „Islamfeindschaft“ und „Phobie“ denunziert, die geölte Leier der verordneten Islamophilie.

Im schmierigen Islam-Agenten&Apologetinnenzirkus treten die gut bezahlten KollaborateurInnen des neuen Totalitarimus in Serie auf. Zu den Apologetinnen aus dem Moslemmilieu Katajun Amirpur und Lamya Kaddor kommt noch Angelika Neuwirth hinzu, eine von der dt. Islamlobby honorierte Modedame aus der Islamkosmetikbranche, die vor keiner Verdrehung und intellektuellen Zumutung zurückschreckt, so sehr ist sie von Kopf bis Fuss auf die käufliche Liebe zum Islam eingestellt.

Mit künstlich affektierter manierierter Stimme, die sich wie eine dicke Crème über die Verlogenheit legt, erklärt diese „Expertin“ für das islamische Europa im DLF, wie man die Aufforderung zum Frauenschlagen richtig zu verstehen hat, nämlich nicht als Schlagen, sondern als ein „Zurechtweisen“. So zu hören gestern in den  Zwitschertönen im DLF vom 7.6.15. 

Wie eine routinierte Aufsichtsperson vom Dienst im Islamisierungsgewerbe belehrt sie die Ungläubigen, wie der Koran richtig zu verstehen ist. Die Dummdreistigkeit und intellektuelle Verkommenheit, mit der hier Islamkritiker von beschränkter Warte zurechtgewiesen werden,  denen  KollaborateurInnen des Islamofaschismus unverfroren unterstellen, sie kapierten die Mord- und Vergewaltigungsaufrufe der Frauenunterwerfungs-Religion nicht, kann nicht mal mehr von Amirpur oder Kaddor überboten werden. Das ist diese Sorte williger Weiblichkeit, die nach der offiziellen Einführung der Scharia auch nicht ausgepeitscht werden, sondern der Hinrichtung von Kritikern  zustimmend zuschauen; sie applaudieren dem Programm des Faschislam, festgeschrieben im Koran, und bewähren sich als fleissige  Gehilfinnen und Meinungslageraufserherinnen eines  religiösen Männergewaltrechts. Die Dreistigkeit der Zurechtweisung der Islamkritiker im DLF kennt keine Grenzen der Scham. Mit der Modedame Neuwirth erreicht sie einen Grad von geistiger Zumutung, dass es sogar dem Moderator hörbar unwohl ist. Aber im Deutschlügenfunk könnten sich die Mitarbeiter nicht mal eine vom Programm abweichende > Aufwärmphase leisten, so sie denn darauf kämen, in der sie sich über den Affenzirkus der verordneten Islamophilie lustig machen. Die Islamkosmetikerin funktioniert wie eine vollautomatisch aufgezogene Plastiksprechpuppe, die die Weisheiten der Wächterräte nachplappert. Auch die Hintermänner der  bezahlten deutschen Sprachrohre der Islamophilie wissen:  Der Islam hat nichts mit dem Islamischen Staat zu tun.  Dann hat der Koran, den der IS befolgt, auch nichts mit dem Islam zu tun.  Frau Neuwirth erklärt es Ihnen.  http://www.jihadwatch.org/2015/06/pakistan-muslim-scholars-jihad-groups-have-nothing-to-do-with-islam

Ad Angelika Neuwirth: https://widerworte.wordpress.com/2015/01/26/deutschland-sucht-den-super-islam/

 

Die Religion des Friedens killt ihre Kritiker

Atheisten und Abtrünnige werden ausgepeitscht und abgeschlachtet

Während im Westen die politische Klasse den Islam hofiert und in den Medien verordnete Islamophilie zelebriert wird, werden die barbarischen Strafen des Religionsrechts, das angeblich nichts mit dem Islam zu tun hat, islamweit weiterhin praktiziert. Der  Blogger  Raef Badawi, der schon ausgepeitscht wurde, soll jetzt zum Tode verurteilt werden.

Raif Badawi

http://www.stern.de/politik/ausland/ehefrau-von-inhaftiertem-blogger-badawi-zum-stern-bitte-lasst-die-saudis-meinen-mann-nicht-toeten-2176901.html

  • Dem zu tausend Peitschenhieben verurteilten saudiarabischen Blogger Raef Badawi droht offenbar die Todesstrafe. Richter am Strafgericht des streng muslimischen Landes wollten den 31-Jährigen wegen Abfallens vom muslimischen Glauben anklagen, berichtet der „Independent“ unter Berufung auf Badawis Ehefrau Ensaf Haidar.
        Im Kontakt mit stern.de-Chefredakteur Philipp Jessen bestätigt Haidar die drohende Todesstrafe: „Ja, es ist wahr, mehr Informationen haben wir aber nicht.“ Badawis Ehefrau war mit ihren drei Kindern 2012 nach Kanada geflohen. Von dort aus kämpft sie für die Freilassung ihres Mannes. In einer Nachricht an Jessen zeigt sie sich sehr besorgt über die Zuspitzung der Lage und fleht die Welt um Hilfe an: „Bitte lasst die Saudis meinen Mann Raif Badawi nicht töten. Bitte helft ihm“, fleht Haidar.
  •     Raef Badawi war wegen Beleidigung des Islam zu zehn Jahren Haft, einer Geldstrafe und tausend Peitschenhieben verurteilt worden. Die ersten 50 Schläge erhielt er Anfang Januar in Dschidda. Danach setzte die Vollzugsbehörde die Prügelstrafe, die über 20 Wochen aufgeteilt werden sollte, mehrmals aus „gesundheitlichen Gründen“ aus.
        Der Aktivist hatte auf seiner Internetseite Liberal Saudi Network immer wieder die Religionspolizei für ihre harte Durchsetzung der in dem wahhabitischen Königreich vorherrschenden strengen Auslegung des Islam kritisiert. Im Jahr 2012 war er deshalb festgenommen und im November wegen „Beleidigung des Islam“ verurteilt worden.
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Ein anderer islamkritischer Blogger, Avijit Roy, wurde in Bangladesh zu Tode gehackt von zwei Killern, die wie die beiden Schlächter von Lee Rigby auf offener Strasse über ihn herfielen und ihn mit Macheten traktierten. Hinrichtungen von Abtrünnigen und Atheisten, Dissidenten und Kritikern des Islam gehört zur Kernkompetenz eines bestialischen Killerkults, mit dem die verkommenen europäischen Linken sympathisieren, die den Protest gegen Islamisierung als «Rassismus» denunzieren und ihre kriminellen Krawalltrupps mobilisieren, wo immer sich demokratischer Bürgerprotest gegen die Schariareligion regt.

Atheist US blogger hacked to death in Bangladesh

  • http://www.freemalaysiatoday.com/category/world/2015/02/27/atheist-us-blogger-hacked-to-death-in-bangladesh/
    February 27, 2015
       A prominent American blogger of Bangladeshi origin was hacked to death with machetes by unidentified assailants in Dhaka on Thursday, police said, with the atheist writer’s family claiming he had received numerous threats from Islamists.   
        The body of Avijit Roy, founder of Mukto-Mona (Free-mind) blog site which champions liberal secular writing in the Muslim-majority nation, was found covered in blood after the attack which also left his wife critically wounded. (…)   
             Roy, said to be around 40, is the second Bangladeshi blogger to have been murdered in two years and the fourth writer to have been attacked since 2004.
        Hardline Islamist groups have long demanded the public execution of atheist bloggers and sought new laws to combat writing critical of Islam.(…)   
        Police have launched a probe and recovered the machetes used in the attack but could not confirm whether Islamists were behind the incident.   
        But Roy’s father said the writer, a US citizen, had received a number of “threatening” emails and messages on social media from hardliners unhappy with his writing.   
        “He was a secular humanist and has written about ten books” including his most famous “Biswasher Virus” (Virus of Faith), his father Ajoy Roy told AFP.
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Das Abschlachten der Andersdenkenden und Ungläubigen ist die islamische Methode des Umgangs mit Kritik an der Religion des Friedens, wie schon die Ermordung  von Theo van  Gogh demonstriert hat. Auch in diesem Fall fiel der linke Medienmob über den Ermordeten her. Ob Strasssenmob oder Medienmob macht übrigens keinen Unterschied in der Absicht der Ausschaltung der Islamkritiker, die nach dem Religionsrecht ausgepeitscht oder auf der Strasse niedergemetzelt werden, und die auch im Westen unter Polizeischutz leben müssen, während sie vom Medienmob weiter gemobbt werden als «Rassisten».

Ob mit dem Messer (Mord an Theo van Gogh und Lee Rigby), mit der Axt (Überfall auf Kurt Westergaard) oder der Machete, die Menschenschlächter befolgen nur die Mordbefehle des Koran, der allen, die Allah nicht folgen, mit blutigen Strafen droht. Aber wenn man einen deutschen Islamagenten und Schlaumeier wie Mazyek hört, dann sind es die Moslems, die von den Deutschendhimmis attackiert und wie Juden damals von Nazis verfolgt werden.

Ein Takiyameister erklärt einem deutschen Musterdhimmi die Scharia

Deutsche Medienmenschen sind die  Musterschüler des Islam und lassen sich vom Takiya-Meister willig erklären, dass der Begriff Scharia erst im Mittelalter «im islamischen Kontext» aufgetaucht sei und das Strafrecht keine Bedeutung habe. Ganz so, als sei es nicht existent oder als sei das Religionsrecht des Islam für den Islam nicht relevant. Scharia sei der Weg zur Tränke , erklärt Mazyek den deutschen Kamelen im TV-Gespräch mit Elmar Thevessen (bei Phönix), und der gibt sich zufrieden mit der Erklärung, dass es «nur» um einen angeblichen Nebenaspekt der Scharia gehe, das Zivilrecht, das Strafrecht komme ja für Deutschland (noch) nicht in Frage.

Da fragt sich nur, welcher Ochse da jeweils zur Tränke kommt und wer auf dem Weg zur Tränke auf der Strecke bleibt. Denn Europa will nicht wissen, zu was für einer Tränke die islambesoffenen Dhimmis geführt werden, bis sie im blutigen Schariarecht ersaufen, das im Orient laufend vollstreckt wird, während die Islam-Musterschüler sich von Märchenonkel Mazyek erzählen lassen, dass die Scharia, nach der die Islamkritiker in den islamischen Musterländern hingerichtet und abgeschlachtet werden, für Deutschland keine Bedeutung hat als die eines friedensstiftenden Vermittlungsangebots für familäre «Streitfälle», die die Moslems bitte wie jedes deutsche Schiedsgericht (!) unter sich «lösen» möchten, durch den Imam oder durch die Familie (z.B. durch Kehlendurchschneiden der Töchter oder nach welchem Recht werden die Rechte der Betroffenen eingeschätzt?!). Wer ist denn da die «familiäre» Instanz, die kein demokratisches  Recht anerkennt, aber befugt sein will, als Autorität über Leben und Tod der Töchter zu entscheiden? Was sind das für Familien, die nicht dulden, dass die Frauen sich «im Streitfall» an die ordentlichen Gerichte wenden?

Da fordert der Mustermoslem unverfroren mit Berufung auf deutsche Schiedsgerichte, die dem demokratischen Recht unterstehen, die Anerkennung islamischer Schiedsgerichte ein, die einem ganz anderen Rechtssystem dienen; und zwar unter dem Vorwand: «nur» in Zivilrechtsangelegenheiten (also nur für Frauen folgenreich),  und mit Berufung auf die Gleichberechtigung der Modslems in Deutschland! Also islamisches präzivilisatorisches Religionsrecht als gleichberechtigt neben dem deutschen demokratisch geltenden Recht.

Und die deutschen Kamele merken es nicht, zu welcher Tränke sie geführt werden. Das ist das moslemische und linke Verständnis von Gleichberechtigung: na klar ist das islamische Schiedsgericht in Deutschland «gleichberechtigt», welcher Linke möchte den Moslems denn ihr «Recht» streitig machen. Da werden mit demokratischer Terminologie undemokratische Normen eingeführt, und Elmar Thevessen lässt sich das aufbinden und protestiert nicht. Er schluckt, was ihm an dieser Tränke offeriert wird und stellt sich als ein (frei)williger Steigbügelhalter für Mazyek & Konsorten zur Verfügung, erwähnt mit keinem Sterbenswort die blutige laufende Praxis des in der Welt des Islam weiterhin gültigen und laufend exekutierten Religionsrechts, das seine Kritiker killt. Wenn Mazyek so tut, als ob das Religionsrecht des Islam nicht zentral zur Gesetzesreligion Islam gehörte, tut der folgsame Dhimmi ebenfalls so, als habe der Märchenonkel ihn nun über den wahren Islam aufgeklärt.

Thevessen verhielt sich im Medienzirkus mit Mazyek wie ein gut dressierter Pudel, der dem Dompteur die Fleischhäppchen apportiert, mit denen die Raubtiere gefüttert werden, ehe man sie aus dem Käfig lässt. Sie müssen gut gefüttert werden, weiss der Takiyameister, damit sie sich nicht diskriminiert vorkommen, drum bekommen sie Sonderrechte im Multikultizirkus, sonst brechen sie aus, um ihre Raub- und Mordlust in der freien Wildbahn zu befriedigen.

Die Zirkuszuschauer, die sich noch Illusionen über die Natur dieser Schauspiele hingeben, sollten im Auge behalten, was in der freien Wildbahn geschieht, wo der Islam nicht mehr durch die säkularen Gesetze gebändigt wird, sondern sich frei entfalten kann, wie im Irak oder in Saudi-Arabien.

Ob Elmar Thevesssen sich auch von einem Nazi erzählen lassen würde, derAntisemitismus gehöre nicht zum NS? Aber wenn Mazyek den Naziknüppel aus dem Sack holt, mit dem die Islamkritik medial niedergeknüppelt wird, flankierend zu den Aktivitäten des Strassenmobs, dann ist ihm die Devotion des Duckmäusers sicher, die den Kopf einzieht, ehe er ihn  noch erhoben haben, und im Fusionssumpf von «Wir alle hier» untertaucht bzw. absäuft.

Mehr zu Thevessen, der die gesamte Islamkritik dumpf und stumpf als Hass verunglimpft:

http://www.pi-news.net/2012/11/pi-interview-mit-elmar-thevesen-zdf/

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Wie bei Phönix die Islamversteher, sind es beim Deutschlandfunk die Duckmäuser vom Dienst, die das Märchen vom Islam, der von seinen Kritikern verleumdet wird, verbreiten. Ob der Deutschlandfunk demnächst noch den Autor der «Medienmärchen», Müller-Ullrich, aufbietet, der Taslima Nasreen nach ihrer Flucht aus Bangladesh diffamierte, sie werde gar nicht verfolgt, mache sich nur wichtig, Bangladesh sei eine Demokratie? (Taslima Nasreen musste vor den grölenden Männerhorden, die ihr Haus umzingelten, flüchten; zuerst ging sie nach Europa, dann nach Indien. Sie lebt heute an wechselnden Wohnorten). Der Mullhrich könnte den Hörern ja erzählen (unter Berufung auf seine Kronzeugin, die Islamschwärmerin und Ajatollah-verehrerin Annemarie Schimmel), der amerikanische Blogger in Bangladesh, der als Atheist mit Mord bedroht und dann abgeschlachtet wurde, habe  die «Demokratie» von Bangladesh falsch verstanden und sich nur «wichtig machen» wollen. Auch in >Pakistan sind dieselben mörderischen Islamhorden am Werk, die «Blasphemie» mit demTod bedrohen.

Es sind die Stosstrupps der OIC, die das Blasphemiegesetz als Islamkritikverbot in der EU durchzusetzen im Begriff ist, aber was weiss das Kamel von der blutigen Quelle der Tränke!

So wie es für den Takiyameister den Islam nicht gibt, der gegen seine Kritiker weltweit tobt, so gibt es für den deutschen Musterdhimmi die Islamisierung Europas nicht. Dass die OIC ihr Programm des Islamkritikverbots als Blasphemiegesetz auch in der EU durchzusetzen weiss, nimmt Thevessen so wenig zur Kenntnis wie die Zustimmung zur Scharia unter «jugendlichen» Moslems nach den Umfragen von PEW, deren Ergebnisse er gezielt ignoriert. Er zitiert die demografischen Vorhersagen, die aber die Massenzuwanderung auslassen. Die Politik der OIC ist ihm so wenig ein Begriff wie die Islamkritik und der Meinungsterror der verordneten Islamophilie, denn er ist  Teil dieses Programms.

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AUS DER FUNDGRUBE:

DIE FROHE BOTSCHAFT DES ISLAM

Die korangemäss augepeitschten und ermordeten Blogger haben offenbar nicht eingesehen, wie friedlich doch der Koran ist, den sie nur falsch gelesen haben. Hier noch mal zur Erinnerung an  die  frohe Botschaft des Islam:

Der Papst “aus einem fernen Land”, in dessen Hauptstadt Buenos Aires im Jahr 1994 iranische Muslime 85 Juden umbrachten und zahlreiche verletzten, belehrte uns in “Evangelii Gaudium” über den Islam:

„Authentischer Islam und das richtige Lesen des Korans stehen jeder Form von Gewalt entgegen“…

  • Papst Franziskus hat dieses Apostolisches Lehrschreiben namens Evangelii Gaudium erst herausgegeben, aber die erste deutsche Version wurde vor wenigen Tagen zurückgezogen, sogar von der Homepage des Vatikans www.vatican.va entfernt,  jetzt gibt es die 2. Version, ich füge sie hier an. Auch dieses entschärfte Evangelii Gaudium ist immer noch ungeheuerlich, man sollte es bei passender Gelegenheit immer zitieren.
  • Da wurde dann von der angemessenen Interpretation gesprochen!
  • Dazu auch seine Äußerungen vom 20. März 2013 beim Empfang in der Salla Clementina:
  • vor allem die Muslime, die den einen lebendigen und barmherzigen Gott anbeten und im Gebet anrufen…
  • Im übrigen ist im Koran Maria die Schwester Aarons (also 1000 Jahre früher) und Jesus ist einer unter 30.000 Propheten, der nicht gekreuzigt wurde, sondern ein Ersatzmann.
  • „Kämpfet wider jene von denen, welchen die Schrift gegeben ward, die nicht glauben an Allah und an den Jüngsten Tag und nicht verwehren, was Allah und sein Gesandter verwehrt haben, und nicht bekennen das Bekenntnis der Wahrheit, bis sie den Tribut aus der Hand gedemütigt entrichten. Und es sprechen die Juden: ‚Esra ist Allahs Sohn.‘ Und es sprechen die Nazarener: ‚Der Messias ist Allahs Sohn.‘ Solches ist das Wort ihres Mundes. Sie führen ähnliche Reden wie die Ungläubigen von zuvor. Allah, schlag sie tot! Wie sind sie verstandeslos!“ (Sure 9, 29, 30)   Quelle:

http://www.buergerbewegung-pax-europa.de/http://www.bpe-online.net/

Deutsche Schariajustiz im Einsatz gegen Islamkritik

Islamkritiker vor dem Kadi von Heilbronn

Prozess gegen Bundesgeschäftsführer der islamkritischen Bürgerbewegung Pax Europa am Amtsgericht Heilbronn. Sein Vergehen: Er bezeichnete einen dortigen Richter als “Amtsrichter

Der Termin wird noch bekanntgegeben, er ist vorläufig aufgeschoben, vielleicht muss das Gericht noch herausfinden, was ein Amtsrichter ist. Blog von Michael Mannheimer:

  • 19.2.2015
  • Prozess gegen Bundesgeschäftsführer der Bürgerbewegung Pax Europa (BPE), weil er einen Richter am Amtsgericht Heilbronn als “Amtsrichter” bezeichnete
  • Am 22. Januar 2014 ging ein Strafbefehl des Amtsgerichts Heilbronn beim Bundesgeschäftsführer der Bürgerbewegung Pax Europa, Conny Axel Meier ein. Anlass war ein Bericht Meiers über einen Prozess gegen Michael Mannheimer am selben Gericht vor zwei Jahren.
  • Meier war als Prozessbeobachter im Verfahren gegen Mannheimer dabei und verfasste darüber einen Artikel, der bei PI veröffentlicht wurde (“Prozess-Farce am Amtsgericht Heilbronn”) und auch in englischer Übersetzung bei Gates of Vienna erschien.
  • Dieser Artikel gefiel dem damals Vorsitzenden Richter Thomas Berkner überhaupt nicht. Denn er fand darin seine Würde und Ehre verletzt, weswegen er Anzeige wegen Beleidigung an Meier erstattete. Anlass für die Ehrverletzung Berkners war, so der Strafbefehl, eine Formulierung Meiers, in welcher dieser den Richter am Amtsgericht
  • “bewusst und gewollt persönlichkeitsbezogen als “Amtsrichter Thomas Berkner” abqualifizierte“
  • Wenn Sie nun meinen, sich verlesen zu haben: Wir dürfen Sie beruhigen. Mit Ihren Augen ist alles in Ordnung. Wenn Sie sich über die kafkaesk anmutenden Hintergründe dieses Prozesses informieren wollen, lesen Sie Näheres dazu bei PI:

Der Kadi vom Amtsgericht scheint seine Rechtsgutachten von den deutschen Muftis zu beziehen. Als Richter eines zu Deutschland gehörenden Schariagerichts kann er es nur ehrverletzend finden, mit einem normalen deutschen Amtsrichter verwechselt zu werden.

Heilbronn: Erneut Strafbefehl gegen Islamkritiker

Die Heilbronner Justiz hat wieder einmal zugeschlagen. Nachdem es augenscheinlich ihr Ziel ist, den islamkritischen Publizisten Michael Mannheimer aus Heilbronn zum Schweigen zu bringen, hat es diesmal einen anderen erwischt: Am 22. Januar 2014 ging ein Strafbefehl des Amtsgerichts Heilbronn beim Bundesgeschäftsführer der Bürgerbewegung Pax Europa, Axel Conny Meier, der ebenfalls im Einzugsbereich der Zuständigkeit des selben Amtsgericht wohnt, ein. Das Interessante dabei ist, dass die beiden Fälle Mannheimer und Meier sowohl örtlich als auch thematisch unmittelbar miteinander verbunden sind: Denn Meier war als Prozessbeobachter im Verfahren gegen Mannheimer dabei und verfasste darüber einen Artikel, der bei PI veröffentlicht wurde (“Prozess-Farce am Amtsgericht Heilbronn”) und auch in englischer Übersetzung bei Gates of Vienna erschien.

  • Dieser Artikel gefiel dem damals Vorsitzenden Richter Thomas Berkner überhaupt nicht. Denn er fand darin seine Würde und Ehre verletzt, weswegen er Anzeige wegen Beleidigung an Meier erstattete. Doch es ist in diesem Fall viel komplizierter: Berkner hat sich – so ist zu vermuten – bei seinem Dienstvorgesetzten, dem Präsidenten des Amtsgerichts Heilbronn Reiner Hettinger, über den Text von Meier beschwert. Bei Beamten scheint es möglich zu sein, dass nicht der unmittelbar Betroffene, sondern dessen Vorgesetzter Anzeige erstatten kann (Fürsorgepflicht des Vorgesetzten). Das genaue Prozedere darf man sich in der Folge etwa so vorstellen:
  • Hettinger stellt in seiner Funktion als Vorgesetzter des Richters am Amtsgericht Heilbronn, Thomas Berkner, einen Strafantrag bei der Staatsanwaltschaft Heilbronn. Die nur wenige hundert Meter neben besagtem Amtsgericht arbeitenden Staatsanwälte, die in nahezu täglichem und persönlichem Kontakt mit den Amtsrichtern stehen, führen das Ansinnen des Gerichtspräsidenten willfährig aus. Nun schickt Hettingers Gericht den Strafbefehl in eigener Sache an den Beschuldigten Axel Conny Meier. Somit ist das Amtsgericht nicht unabhängig, sondern parteiisch und in eigener Sache tätig, und zwar zugleich als Beschwerdeführer und Urteilsbefinder in ein und derselben Causa… lustig!
  • Aus der Anzeige Berkners bzw. seines Vorgesetzten Hettinger erging nun ein Strafbefehl in Höhe von 2.400 Euro (60 Tagessätze à 40 Euro) an Meier. Gegen diesen Strafbefehl erhob Meiers Anwalt fristgerecht Einspruch. Damit wird es zu einem weiteren Prozess am Amtsgericht Heilbronn gegen einen mit Islamkritik befassten deutschen Bürger kommen, wobei die zuvor erwähnten Bedingungen – sehr vorsichtig ausgedrückt – erhebliche Zweifel an der Rechtsstaatlichkeit des Verfahrens aufkommen lassen. Die Zweifel mehren sich, wenn man die Anklage liest. Wörtlich heißt es in besagtem Strafbefehl:
  • Der Angeklagte veröffentlichte am 18.4. 2013 bis heute in dem Internet Blog “Politically Incorrect” unter der Überschrift “Prozess-Farce am Amtsgericht Heilbronn” einen Artikel, der sich mit dem Strafverfahren gegen M.M. vor dem Amtsgericht beschäftigte. Darin übte er ganz überwiegend herabwürdigende Schmähkritik an dem zuständigen Richter am Amtsgericht Berkner, wobei er diesen bewusst und gewollt persönlichkeitsbezogen als “Amtsrichter Thomas Berkner” abqualifizierte und in entsprechender Absicht ehrverletzend ausführte: “eine Verschiebung des Gerichtstermins wurde vom Amtsrichter Berkner unter fadenscheinigen Begründungen abgelehnt.”
  • Halten wir – erstaunt und sichtlich betroffen – vorerst fest: Es ist also eine Beleidigung und Abqualifizierung, einen Richter an einem Amtsgericht als “Amtsrichter” zu bezeichnen. Das nachzuvollziehen erscheint uns selbst bei bestem Willen schwer bis unmöglich, insbesondere vor der Tatsache, dass – man halte sich nun fest – niemand Geringeres als der “Deutsche Richterbund” (dem der klageführende Gerichtspräsident am Amtsgericht Heilbronn Reiner Hettinger stellvertretend für seinen ihm untergebenen Richter Berkner, ebenfalls am Amtsgericht Heilbronn, vermutlich beide angehören), seine Richter an den Amtsgerichten in Deutschland wie nennt? Richtig: „Amtsrichter“. So steht auf der Homepage des Deutschen Richterbunds wörtlich folgendes: „Mehr als die Hälfte aller Richter, die bundesweit in der ordentlichen Justiz tätig sind, sind Amtsrichter. Sie stellen damit die Mehrheit der Richter in der ordentlichen Justiz.“
  • Und – um der Absurdität dieses Strafbefehls schließlich die Krone aufzusetzen – existiert ein eigener, ganz spezieller Berufsverband, dem ausschließlich Richter an deutschen Amtsgerichten angehören können, und der nicht etwa heißt: “Verband von an Amtsgerichten tätigen Richtern”, sondern “Amtsrichterverband e.V.”. Mit anderen Worten: Die von Conny Axel Meier für den Richter am Amtsgericht Heilbronn Berkner gewählte Bezeichnung “Amtsrichter” wird sowohl vom Deutschen Richterbund als auch vom Berufsverband der Amtsrichter exakt so als Berufsbezeichnung für den Richterstand jener deutschen Richter benutzt, die als Richter an deutschen Amtsgerichten tätig sind. Wozu ohne jeden Zweifel auch Thomas Berkner zählt.
  • Doch das Amtsgericht Heilbronn sieht in der üblichen und hochoffiziellen Berufsbezeichnung „Amtsrichter“ eine “ganz überwiegend herabwürdigende Schmähkritik” mit dem Ziel der Abqualifizierung (!) des klageführenden Richters Berkner. Nun haben wir – wenn die Sichtweise des Amtsgerichts Heilbronn zutreffen sollte – als juristische Laien folgende Fragen an den Beschwerde führenden Richter Berkner, an dessen Dienstvorgesetzten, den Amtsgerichtspräsidenten Hettinger und deren beider Arbeitsstelle, das Amtsgericht Heilbronn, das den Strafbefehl gegen Axel Conny Meier ausstellte:
  • 1. Sollte Meier diesen Strafbefehl bezahlen (indem er seine Beschwerde zurücknimmt) und wegen Beleidigung Berkners, den er als “Amtsrichter” (so der Strafbefehl) herabwürdigte, bestraft werden: Müsste dann das Amstgericht Heilbronn nicht umgehend Strafbefehle gegen den “Deutschen Richterbund” und gegen seine eigenen Berufsverband, den “Amtsrichterverband e.V.”, ausstellen, die beide (s.o) exakt diese Bezeichnung für Richter an Amtsgerichten führen?
  • 2. Sollte Meier den Prozess durchziehen und verlieren: Müsste dann das Amtsgericht Heilbronn nicht sofort den “Deutschen Richterbund” und den Berufsverband der Amtsrichter ebenfalls verklagen? Schließlich wird von beiden der im Strafbefehl erwähnte “abqualifizierende” Begriff “Amtsrichter” ganz offiziell als Berufsbezeichnung von Richtern geführt, die an Amtsgerichten tätig sind.
  • 3. Oder wird ein solcher juristischer Fauxpas intern ohne jedwede Konsequenzen für Mitarbeiter eines Berufsstands abgewickelt, der manchmal – wegen dessen Quasi-Unangreifbarkeit selbst bei klaren Gesetzesverstößen – als “Herrgötter in Schwarz” bezeichnet wird?
  • 4. Wie kann es sein, dass ein deutsches Amtsgericht nicht weiß, dass seine Richter von offizieller Seite und ihren eigenen Berufsverbänden “Amtsrichter” genannt werden?
  • 5. Wie kann es sein und durchgehen, dass ein Amtsgericht Klage führt gegen einen deutschen Bürger, der einen Richter am Amtsgericht zutreffend als “Amtsrichter” betitelt, mit der Begründung, dies sei eine “überwiegend herabwürdigende Schmähkritik an dem zuständigen Richter am Amtsgericht Berkner”?
  • 4. Geht es dem Amtsgericht Heilbronn, das diesen Strafbefehl erlassen hat, in erster Linie gar nicht um den (völlig unzutreffenden und absurden) Vorwurf der Beleidigung, sondern um den Tatbestand, dass ein deutscher Bürger es gewagt hatte, einen Richter überhaupt zu tadeln? Geht es hier also um die zukünftige Verhinderung jeder Richterschelte, die – man lese entsprechende Artikel – von vielen Richtern auch als “Majestätsbeleidigung” eines sich unangreifbar wähnenden Berufsstands gesehen wird?
  • Fragen über Fragen, bei denen wir allerdings ziemlich sicher sind, dass wir seitens des Amtsgerichts Heilbronn keine Antworten hören werden. Aber vielleicht findet diese Justiz-Posse ja Eingang ins Allerheiligste der deutschen Juristen, und zwar als Artikel in der “Neuen Juristischen Wochenschrift” (NJW), der laut Wikipedia “bedeutendsten Zeitschrift für die juristische Theorie und Praxis in Deutschland” und wird darin – abgeschirmt von der lästigen nichtjuristischen Öffentlichkeit – intern juristisch besprochen.
  • Nun, das war der erste Streich des Amtsgerichts Heilbronn gegen Conny Axel Meier. Richter Berkners zweiter Vorwurf im Hinblick auf die in Meiers Artikel angeblich enthaltene Schmähkritik lautet wie folgt (wörtlicher Auszug aus dem Strafbefehl gegen Meier):
  • […] eine Verschiebung des Gerichtstermins wurde vom Amtsrichter Berkner unter fadenscheinigen Begründungen abgelehnt. Ein Angeklagter, dem das Recht auf Verteidigung auf solch miese Art vorenthalten wird, ist selbst aus den Volksgerichtsprozessen des Roland Freisler unbekannt. Obwohl auch dort die Urteile meistens schon vor Prozessbeginn feststanden, erlaubte man doch pro forma den Angeklagten die Hinzuziehung eines Verteidigers. Selbst dies wurde Michael Mannheimer am Amtsgericht verwehrt. Ein faires Verfahren sieht anders aus.
  • Eine wissenschaftliche Nachforschung wird belegen, dass Meiers Aussage zu Roland Freisler historisch richtig ist. Eine juristische Nachforschung wird belegen, dass es ebenfalls richtig ist, dass Berkner gegen § 217 StPO, 218 verstieß, als er den Antrag des Mannheimer-Verteidigers, den Gerichtstermin aufgrund einer zu spät eingegangenen Einladung an die Verteidigung zu verschieben, abschmetterte. Es wird ebenfalls bewiesen werden, dass die seitens der Mannheimer-Verteidigung gegen Berkner (und andere Richter) eingegangenen Befangenheitsanträge ebenfalls zu Unrecht abgewiesen wurden.
  • Damit ist die Behauptung Meiers, dass das Heilbronner Gericht einem Angeklagten rechtswidrig verweigerte, von seinem Anwalt verteidigt zu werden und eine eine Verschiebung auf einen anderen Termin ebenfalls verweigerte, wahrheitsgetreu und richtig. Die von Meier zitierten Fakten sind sowohl jede für sich als auch in ihrer Analogie zueinander unstrittig. Aus ihnen zu schlussfolgern (was vermutlich seitens Berkner, seinem Dienstvorgesetzten und seitens der Heilbronner Staatsanwaltschaft erfolgte), dass Meier damit den Richter Berkner auf dieselbe Stufe mit Roland Freisler gestellt habe, ist unzutreffend und durch nichts belegt.
  • Meier bedient sich eines Vergleichs, der gerade angesichts unserer NS-Vergangenheit und den Bemühungen Deutschlands nach der NS-Zeit, sich von dieser Ära abzugrenzen, berechtigt und zutreffend ist. Dass Berkner kein Freisler ist, ist wohl unstrittig und wurde uns von Meier auch ohne Wenn und Aber bestätigt. Allein die Verhinderung eines Anwalts durch Berkner war das Thema, diesen mit der Praxis Freislers in Zusammenhang zu bringen, der dies in diesem singulären Analogiepunkt den Angeklagten im Gegensatz zu Berkner eben gestattete. Wenn solche Analogien von der Meinungsfreiheit nicht mehr gedeckt sind, dann gibt es keine Meinungsfreiheit mehr.
  • Conny Axel Meier sieht dem Prozess gelassen entgegen. Gegenüber PI sagte er, er sei nur erstaunt gewesen, dass Richter so dünnhäutig seien. Im Übrigen wolle er sich zu seinem laufenden Verfahren nicht weiter äußern.

Nachtrag:

  • Während eine Klage gegen Mannheimer wegen angeblicher „Volksverhetzung“ – die zeitlich lange vor der Klage Bodenmillers erfolgte, immer noch nicht eröffnet wurde (Grund war Mannheimers Aufruf zum Widerstand gegen das politische Establishment. Klageführer ist ein Imam in Nordrhein-Westfalen), wurde die zeitlich später erfolgte Bodenmiller-Klage im Eiltempo durchgedrückt und mit dem (für außenstehende Beobachter) erwarteten Schuldspruch beendet. Man wollte Mannheimer schuldig sehen. Dies schien allen Prozessbeobachtern (außer den anwesenden Medienvertretern, die Mannheimer ebenfalls gerne verurteilt sähen) klar zu sein.
  • Die Klagen gegen Mannheimer zielen damit primär auf die gerichtliche Behinderung bzw. das Abstellen jeder Islamkritik (die ein Teil des Grundrechts der Meinungsfreiheit ist), während die Klage gegen Meier die Strategie verfolgt, jede Kritik an Richtern zu kriminalisieren. Beide Themen hängen eng miteinander zusammen, sowohl räumlich als auch inhaltlich: Denn die beauftragten Richter sind in Sachen Islamkritik befasst.
  • Ließen sie es zu, dass ihre Verfahrensweise oder Urteile kritisiert würden, wären sie bei ihren Urteilen gegen Islamkritiker angreifbar. Daher gehen sie gegen Islamkritiker ebenso schonungslos und mit rechtlich fragwürdigen Methoden vor (um es ganz vorsichtig zu formulieren) wie gegen jene, die sie kritisieren. Denn wenn eine Kritik an Richtern nicht mehr möglich ist, dann sind sie dort, wo sich viele Richter gerne sehen: Über dem Gesetz schwebend als “Götter in schwarzen Roben”.
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Vom edlen Sultan und anderen Toleranzmärchen der Islamschwärmer

Die staatlich verordnete Zwangstoleranz für den islamischen Terror

Nach den jüngsten bestialischen moslemischen Geiselmorden (Verbrennung des jordanischen Piloten bei lebendigem Leib sowie den Judenmorden von Paris) tischt ein Welt-Journalist das Lessingsche Märchen der islamischen Toleranz auf, das schon von Hans-Peter Raddatz richtiggestellt wurde. Aber alle Aufklärung über Geschichte und Natur des Islam verfängt nicht bei unterwerfungsfreudigen Kollaborateuren.

WELT-Journalist Sascha Lehnartz empfiehlt angesichts der monströsen Tat, ausgerechnet “Nathan der Weise” zu lesen, wo ein hehres Bild des Mörders Sultan Saladin gezeichnet wird. Nicht so bei Islamkennern wie Hans-Peter Raddatz, der den Sultan Salah ad-Din bzw. Saladin nicht zur «Toleranzikone» verklärt:

  • (…) «Die Chronisten werden nicht müde, Saladins Vorzüge als mudjahid zu preisen, dem traditionsgemäß das Kriegshandwerk wichtiger war als das Fasten und die Wallfahrt…plante er „die Franken bis in ihre fernen Länder zu verfolgen, um keinen an der Oberfläche der Erde leben zu lassen, der nicht an Allah glaubt, oder zu sterben.
  • Auf dem Weg dorthin hatte er Gelegenheit, ein Exempel zu statuieren, als er im Jahre 1187 die Stadt Tiberias rückeroberte und Befehl erteilte, ihm möglichst viele Gefangene vorzuführen. Sein Sekretär ‚Imad ad-Din, bekannt für genaue Schilderungen, berichtet uns:
  • „Montagmorgen, den 17. Rabi II (islamischer Monat), zwei Tage nach dem Sieg, ließ der Sultan (Saladin) die gefangenen Templer und Hospitaliter suchen und sagte: >Ich will die Erde von diesen Geschlechtern säubern.< Er setzte 50 Dinar aus für jeden, der einen Gefangenen bringe, und sofort brachte das Heer sie zu Hunderten. Er befahl, sie zu enthaupten, denn er zog es vor, sie zu töten und nicht zu Sklaven zu machen. Eine ganze Schar Gelehrter und Sufis (islamische Mystiker) und eine gewisse Zahl Frommer und Asketen befanden sich bei ihm; jeder bat, ob er nicht einen von ihnen umbringen dürfe, zog das Schwert und krempelte die Ärmel auf. Der Sultan saß mit frohem Gesicht dabei, während die Ungläubigen finster blickten. – Es gab solche (Muslime)…die laut lachten und mordeten; wie viel Lob ernteten sie, ewigen Lohn sicherten sie sich mit dem vergossenen Blut, wie viele fromme Werke vollbrachten sie, um dem Islam Leben zu geben…wie viel Vielgötterei rissen sie nieder, um den Eingottglauben zu bauen…“
  • Hans-Peter Raddatz, Von Gott zu Allah?, 1. Auflage, München Mai 2001, S. 180
  • Hans-Peter Raddatz, Von Allah zum Terror?, 1. Auflage, München Mai 2002, S.17f.

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Es waren  westliche Historiker, die die Geschichte des Islam als erste erforschten, wie man bei John Laffin (The Dagger od Islam) nachlesen kann (der noch unbehelligt ist von den Denkzwängen der politcal correctness und den ideologisch befrachteten Lagerkämpfen der späteren «Islamdebatte»). Schon Leopold von Ranke schildert in seinen Werken zur Weltgeschichte die permanenten inner-islamischen Gemetzel und Eroberungskriege, wobei Sultan Saladin keine Ausnahme macht. Mehr zur Entstehung und Entwicklung des okzidentalen Märchens von der islamischen Toleranz:

Siegfried Kohlhammer:  «Duldung und Demütigung».

Siegfried Kohlhammer: «Ein angenehmes Märchen»:

  • (…) Wie die Figur Saladins zeigt, läßt sich die Idealisierung und Verklärung des Islam in europakritischer Absicht bis ins Mittelalter zurückverfolgen. Diese Figur weist eine interessante Parallele zu Al-Andalus auf, was ihre Rolle im kollektiven Gedächtnis der Muslime betrifft: Beide waren jahrhundertelang vergessen und wurden erst unter westlichem Einfluß im 19. Jahrhundert neuentdeckt und -bewertet. »So überraschend es klingt, Saladin, der bald im mittelalterlichen Europa in den Jahrhunderten nach den Kreuzzügen idealisiert und von der europäischen Aufklärung geradezu enthusiastisch einem heroischen Muster angepaßt wurde – man denke nur an seine Darstellung bei G. E. Lessing und Sir Walter Scott – wurde jahrhundertelang im Nahen Osten ignoriert.«
  • Saladin wurde in literarischen Werken des europäischen Mittelalters zu einer »Idealfigur der Ritterlichkeit«. Er ging ein »in die europäische Legende als satirischer Kritiker europäischer Moral und sogar als der gute Mensch, der bemüht war, die Wahrheit des Christentums anhand der christlichen Praxis auf eine Probe zu stellen, die sie nicht bestand. Das war ein beliebtes Verfahren der Moralisten«, und so »wurde er eine Figur der christlichen Homiletik«. Als solches islamische Tugendmodell und Beschämungs- und Läuterungsinstrument taucht er dann in der Aufklärung wieder auf. Als Kaiser Wilhelm II. auf seiner Orientreise 1898 das Grab Saladins in Damaskus aufsucht, lobt er ihn in einer Rede als »Ritter ohne Furcht und Tadel«, der oft seine christlichen Gegner wahre Ritterlichkeit gelehrt habe. Kurzum: Im 18. Jahrhundert begannen die Europäer an die islamische Toleranz und höhere Menschlichkeit zu glauben, ab dem 19. Jahrhundert schlossen sich die Muslime ihnen an, und im 20. glaubten schließlich auch die Islamwissenschaftler daran. (…)

Mit Edward Said erreichte die Tabuisierung der Geschichte des real existierenden Islam und die Verklärung des Orients als Tabuzone für westliche „Orientalisten“ ihre Systematisierung und wird zum Dogma  der Islamlobby. Kohlhammer nahm den von der deutschen Linken begierig aufgegriffenen Orientalismusbegriff  2002 auseinander: ( „Populistisch, antiwissenschaftlich, erfolgreich. Edward Saids Orientalismus, Kohlhammer in Merkur 2002“)

Auch den Kampfbegriff von der „Islamfeindschaft“, mit dem deutsche Islamfreunde die Islamkritik bis heute diffamieren, hat  Kohlhammer   mit dem Essay „Die Feinde und die Freunde des Islam“  früh analysiert.

Inzwischen sind die Kreuzzüge, mit denen die neuen Islamschwärmer automatisch aufwarten, wenn es um islamogene Gewalt und Religions-Terror geht, zur unvermeidlichen Trumpfkarte auch moslemischer Apologeten und sog. «Anti-imperialisten» geworden; um die Allzweck-Wunderwaffe gegen Islamkritik einzusetzen, muss man nur das Stichwort «die Kreuzzüge» fallenlassen, hinter denen dann die blutige Eroberungsgeschichte des Islam zum Verschwinden gebracht wird, aus der nur noch die Märchenfigur des «toleranten Sultans» hervorragt im mythischen Nimbus. Wer weder über die Vorgeschichte der Kreuzzüge noch über die Grosstaten des Sultans Genaueres weiss, weiss aber ganz genau, dass der Islam (den es angeblich nicht gibt…) friedlich tolerant und eine Quelle der Aufklärung Europas ist. Es sind die westlichen linken Antisemiten, «Antizionisten», die den Moslems erklärten, wie sehr sie vom Westen, von den USA und Israel unterdrückt werden. Das Märchen entzieht sich jeder rationalen Argumentation. Es ist inzwischen fester Bestandleil der Dogmatik der linken Glaubensschule.

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Wie allgegenwärtig die Kreuzzüge sind in Dhimmiland, dazu nur ein kleines  Spotlight von heute, aus der Oldenburger Zeitung  5.Februar 2015.  (Beliebig)    

Die Uni Vechta veranstaltete eine dreitägige Tagung zum Thema Gewalt in der Historie, lese ich zufällig im Zug, wo ich diese Zeitung fand.  Wissenschaftler aus allen möglichen Sparten diskutierten auch «das Verhältnis von Religion und Gewalt – etwa am Beispiel» ….von?  Na von was wohl?  Vom Dschihad? Nichts da, am Beispiel der Kreuzzüge selbstverständlich, denn was liegt heute näher als die Kreuzzüge, wozu in die Ferne schweifen wenn das Gute liegt so nah!  Man kann nicht mal mehr eine Kurzstrecke mit einem Regionalzug fahren, ohne dass man mit den Kreuzzügen belästigt wird. Aber die Dschihadisten dürfen in Deutschland völlig unbehelligt „eine Reise“ machen, wenn’s nach dem Kitschkopf Gerhart Baum ginge, der so ums Kriminellenwohl besorgt ist, dass er um die Reisefreiheit der Terrorbrüder wimmert.      

Fototermin der Hochzeitsgesellschaft

 Siegerehrung des Islam

Der Pastor, eingehakt mit dem Brautpaar, strahlend in seinem Element
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Fröhlicher Schulterschluss vor dem Brandenburger Tor

http://heckticker.blogspot.de/2015/01/frohlicher-schulterschluss-vor-dem.html

Nach einem der schrecklichsten in einer westeuropäischen Stadt durch Kämpfer für den Islam verübten Terror- und Mordanschlag tituliert Spiegel Online zu der gestrigen Islam-Veranstaltung in Berlin unter der Rubrik Nachrichten>Politik>Deutschland>Joachim Gauck:

Nach Terror in Paris: Gauck dankt Muslimen in Deutschland

Unbedachtes Headline-Deutsch der Redakteure könnte man sagen und sicher auch nicht so gemeint wie es klingt , vielleicht —– aber irgendwie, irgendwie trifft es doch — gegebenenfalls sogar ungewollt — den Nagel auf den Kopf.

In Paris werden im Namen des Islam Journalisten ermordet, weil sie von ihrem Recht auf Pressefreiheit Gebrauch gemacht haben und es werden ebenfalls im Namen des Islam Juden ermordet, weil sie gar nichts gemacht haben, außer einfach Juden zu sein.

Und den Spitzen unserer Politik fällt — bejubelt von unseren Mainstream-Medien – folgerichtig nichts anderes ein, als nur allzu gern auf das weinerliche „Der-Islam-hat-damit-nichts-zu-tun“-Mimikry des hiesigen Islam-Vertreters Mazyek einzusteigen und ihm den ranghöchsten Bundesrepublikanischen Polit-Rahmen und eine beeindruckende Hauptstadtkulisse für seinen gegen besseres Wissen routinemäßig vorgeheuchelten „Der-Islam-ist-eine-Religion-des-Friedens“-Auftritt und sein aus plötzlich entdeckter tiefer Zuneigung zur Demokratie und allen Religionen , ganz besonders zu den Juden, entsprungenes „Der-Islam-hat-Euch-alle-so-furchtbar-lieb“-Gestotter zu liefern.

„Taqqiya, Heuchelei und grenzenlose Verlogenheit, mehr fällt mir zu der unfassbaren Dauerfarce nicht ein“ formuliert Anna Bessey auf ihrer Seite zu dem gestrigen, ach so überaus gelungenen Islam-Happening in Berlin.

Die Zutaten jedenfalls waren perfekt abgestimmt: Unter dem Beifall der anwesenden , offensichtlich vollkommen schmerzfreien Bessermensch-Claqueure dankt Bundespräsident Gauck dem Islam aufs Herzlichste , die Bundeskanzlerin adoptiert die Lieblingsthese des vor gar nicht so langer Zeit fortgejagten Präsidenten Wulff und stellt — gelobt von den saudischen Menschenrechts-Experten — ein x-tes Mal fest, dass der Islam sich nun, spätestens aber nach Paris, endgültig qualifiziert hat, zu Deutschland zu gehören. Die Kirchen übertreffen sich im Vergessen der zahlreichen durch den Islam in dessen Stammländern malträtierten und vertriebenen Christen und beteuern ihre tiefe, wenn auch unerwiderte Liebe zu den Muslimen ——- und besonders die katholische Kirche freut sich, dass sie mit der nun wieder in voller Beleuchtung strahlenden schönen Judenhass-Wand vor dem Kölner Dom vielen unserer hiesigen Muslime ein besonders wohles Gefühl des Zuhause-Seins bescheren kann. Nur der Vertreter der Juden stört mit seinem spalterischen Hinweis auf den Terror und den Juden-Vernichtungs-Willen der „Nicht-mehr-Terror-sondern-auch-wir-sind-jetzt-Charlie“-Organisation Hamas die Harmonie und erntet auch prompt einigen Unwillen und einige Buh-Rufe der Versammelten.

Trotz dieses kleinen Juden-provozierten Ärgernisses, für Mazyek ein Erfolg auf der ganzen Linie. Mehr an Instrumentalisierung für den Islam und Publicity-trächtiger Eigen-Inszenierung für den umtriebigen Veranstalter ließ sich mit den abscheulichen Morden von Paris nicht erzielen.

Das beigefügte, wunderbar getroffene, überaus fotogene und dem schönen Anlass angemessen fröhliche, natürlich ohne den Juden-Vertreter aufgenommene Schulterschlussbild mit Dame dokumentiert in hervorragender Weise die tiefe Zufriedenheit der Beteiligten mit dem für den Islam — denn darum ging es ja wohl – erzielten Ergebnis. Sorge dürfte A. Mazyek allerdings bereiten, wie er beim nächsten, ganz sicher auf uns zukommenden friedvollen Islam-bezogenen Mord- und Terroranschlag wieder ohne jede Gegenkonzession so viel Honig für sich und die Festigung der hiesigen Islam-Position wird ziehen können, wie bei der diesmaligen überaus glücklichen Konstellation.

Nur schade, dass der größte Teil der von Mazyek angeblich vertretenen hiesigen Muslime ihn in seiner Sternstunde nicht erleben durfte, weil die Muslime in ihrer Mehrheit der großen islamischen Friedens-Demonstration einfach ferngeblieben waren und diese den Islam-verliebten nicht-muslimischen Gutmenschen überlassen haben. Vielleicht waren unsere Muslime aber einfach auch nur noch zu erschöpft von den von ihnen dagegen sehr gut besuchten, tollen und friedliebenden „Juden-ins-Gas“-Demos des letzten Sommers.
Dr. Rafael Korenzecher

 

Linker Antisemitismus politisch salonfähig in Deutschland

Das Simon-Wiesenthal-Zentrum zählt eine israelkritische Konferenz der Partei „Die Linke“ zu den schlimmsten antisemitischen Vorfällen 2014.

Quelle: Israelnetz 2.1.15

Die Linke-Abgeordneten Inge Höger, Annette Groth und Heike Hänsel sowie Linke-Vorstandsmitglied Claudia Haydt teilen sich Platz 4 auf der Liste der schlimmsten antisemitischen Vorfälle im Jahr 2014, teilte das Wiesenthal-Zentrum mit. Die Politikerinnen hatten zu einem „Fachgespräch“ mit Israel-Hassern wie dem amerikanischen Journalisten Max Blumenthal in den Fraktionssaal im Reichstag eingeladen. Blumenthal hatte Israel mehrfach mit dem Islamischen Staat und mit Nazi-Deutschland verglichen. Die Konferenz fand ausgerechnet am 10. November statt – einen Tag nach dem Gedenken an die Reichsprogromnacht am 9. November 1938 und die damals ermordeten Juden.

Höger und Groth waren immer wieder wegen anti-israelischer Äußerungen und Veranstaltungen in den Schlagzeilen. 2010 waren sie gemeinsam mit Rechtsextremen und Islamisten an Bord des Schiffs „Mavi Marmara“, das die israelische Seeblockade des Gazastreifens durchbrechen sollte.

Die Liste des Wiesenthal-Zentrums wird von einem belgischen Arzt angeführt, der einer 90-jährigen Jüdin die Behandlung verweigerte – mit Verweis auf das Leid der Palästinenser im Gazastreifen. Platz zwei belegt das jordanische Parlament wegen einer Schweigeminute für die Mörder dreier Rabbiner in einer Jerusalemer Synagoge, auf Platz drei der Einbruch bei einer jüdischen Familie in Paris, bei dem eine Frau vergewaltigt worden war. Die Täter hatten erklärt, die Opfer explizit ausgesucht zu haben, weil sie Juden seien.

Auf der Liste der schlimmsten antisemitischen Ausfälle 2012 war ebenfalls ein Deutscher vertreten: Der „Spiegel“-Kolumnist Jakob Augstein.

http://www.israelnetz.com/nachrichten/detailansicht/aktuell/bundestagsabgeordnete-auf-antisemiten-liste-90590/
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Während die deutschen Medien sozusagen unisono jeden Protest gegen die Islamisierung als Phantom einer riesigen rechtsradikalen Bewegung auf die Bildschirme zu zaubern versuchen, verschweigen sie bewusst den «Antizionismus“ der israelfeindlichen Linken sowie die krass antijüdischen Elemente des Islam. Moslems können ihren Judenhass gemeinsam mit linken Antisemiten in Deutschland straflos offen austoben. Sie müssen ihre kriminellen Parolen nur als «berechtigte Kritik an Israel» erklären; analog den Barbareien des Islam, die legal werden, wenn man sie als «Religionsfreiheit» deklariert. Echte und fiktive Neonazis stehen im Fokus der medialen Aufmerksamkeit (auch solche, die wahrscheinlich vom Verfassungsschutz etc. kreiert wurden), aber die linke Kriminalität, Gewaltaufrufe und -ausbrüche gegen bewilligte Demonstrationen, demokratische gewaltfreie Kundgebungen, werden bewusst ausgeblendet.
Der links-islamische Antisemitismus wird nicht thematisiert, die Berichterstattungen in den  islamophilen Medien erwecken gezielt den Eindruck, der Antisemitismus komme «aus der Mitte der Gesellschaft», in der die Medien offenbar den Islam ansiedeln. rvc

Moslemische Morddroher und linke Mobber gegen Ex-Moslems

Die islamoffene Schweiz als Gefängnis für Islamkritiker

Das Blick-Interview mit der Exil-Pakistanerin und Islam-Kritikerin Sabatina James vom 13.11.14, das unter dem Titel «Die Schweiz kuscht vor dem Islam“  erschien, ist eine  gute Lektion für die Schweizer Religionswächter von links bis «moderat» islamisch, die den Dhimmis den „fortschrittlichen Islam“ aufbinden. Nicht nur, was die vor Zwangsheirat geflüchtete Konvertitin zum Islam zu sagen hat – also das was Islamkritiker seit Jahren sagen und inzwischen auch die Blick-Leser wissen -, überführt die mit dem Strafrecht drohende Islamlobby der Verlogenheit, schon die blosse Existenz der Exilantin, die in einem Opferschutzprogramm lebt, straft die Problemleugner Lügen: In der «offenen“ Schweiz («Wir sind eine offene Schweiz» war die Lieblingsphrase der linken Ex-Aussenministerin Calmy-Rey, die mit Terroristen flirtete) lebt die Islamkitikerin versteckt unter Polizeischutz, auf gepackten Koffern, auf der dauernden Flucht vor einer gewaltträchtigen  Religion, die ihre Apostaten mit dem Tod bedroht, – und dazu vom zynischen Zenzurgesindel umzingelt, das keine Probleme mit dem Islam kennt noch zulässt, dass man sie benennt, ohne als rassistisch gebrandmarkt zu werden.

Eine Rassismusanzeige bleibt ihr wahrscheinlich nur (noch?) erspart, weil sie Migrantin ist. Denn das Image der islamservilen Kriecherkreaturen, die die  «Problematisierung des Islam» (!) als «Gefahr» erkennen, würde vielleicht etwas Schaden nehmen, wenn sie eine Islamverfolgte, die schon so gut wie gefangen ist, auch noch anzeigen würden, zusätzlich zu den Fatwen, die die Apostaten und Kritiker der islamischen Toleranz mörderisch bedrohen. Rushdie lässt grüssen. Eine konsequente Islamkritik ohne Schmu um den nicht existierenden «moderaten» Islam ist in  der Tat eine Gefahr für den Lügensumpf, in dem terrorgeschützte Denunzianten wirken. Sicher vor Anzeigen aus der links-islamofaschistischen Mobbermeute ist die Migrantin und Konvertitin auch in der Schweiz nicht. So wenig wie Hirsi ali in Holland vor Denunziationen ihre früheren linken Parteigenossen sicher war.

Was Islamophile als Einzelfälle ausgeben, die nichts mit dem Islam zu tun haben, wie der ISlamische Staat, dessen korankonforme Verbrechen auch lauter Einzelfälle sind, ist orthodoxes Islamprogamm. In Deutschland verbündet sich der linkskriminelle Krawallmob der Antifa, der Kundgebungen von Islamgegnern regelmässigt stört und sabotiert, offen mit den Salafaschisten.  Linksintellektuelle Religionswächter entblöden sich nicht, sich im «Kampf gegen rechts» (sprich gegen alle Islamkritiker) offen auf die Seite der Salafaschisten  zu schlagen, deren messerstechende Speerspitze vom Menschenschlächterprogramm des IS schon eine Kostprobe gibt. Auch die Schweiz kultiviert das Märchen vom moderaten Islam mit Keller-Messahli u.ä Korankosmetikerinnen, während die offiziellen Religionswächter im Dunstkreis der Rassismuskommission im Namen der ‹Menschenrechte› darüber wachen, dass das Menschenschlächterprogramm einer nie reformierten Religion nicht problematisiert wird.

Schon zur Minarettinitiative mobilisierten die Religionswächter ihre Wachhunde und liessen die Plakate der Initianten, die vor den Wahrzeichen der Landnahme warnten, verbieten. Die willigsten Lakaien des islamischen Religionsterrors kamen aus den rotgrünen Sümpfen.
Damals solidarisierten sich auch Ex-Moslems und Migranten mit den Minarett-Gegnern, aber ihre Stimmen wurden unterschlagen. Einer war, wir erinnern: Abdelkarim Nasseh, auch ein islamverfolgter Konvertit zum Christentum, der in der Schweiz nicht mal Asyl bekam, das die linken Kriminellenfreunde und Schmarotzer der Asylindustrie den illegalen Scheinasylanten inklusive Schwerkriminellen, deren Ausweisung sie zu verhindern suchen, nachwerfen

Abdelkarim Nasseh wurde verfolgt wie Sabatina James;  vgl. Kommentar von 2008:

http://nebelnorn.20six.de/nebelnorn/art/549726/Ein-islamverfolgter-Konvertit-fur-Minarett-Initiative

In Dänemark scheuten Denunzianten sich nicht, den Islamkritiker und Historiker Hedegaard, einen Humanisten und Aufklärer über die neuen Religionsbarbarei (Autor des Buches «Mohammeds Piger» – Mohammeds Mädchen), vor Gericht zu zerren, weil er die islamische Frauenbehandlung beanstandete und das auch privat geäussert hatte, ausgerechnet gegenüber einem Journalisten; die Wahrheit über eine Religion, deren Rechtgläubigkeit für ihn Lebensgefahr bedeutet. Auch Hedegaard  muss unter Polizeischutz versteckt leben; wie Kurt Westergaard, der nur knapp der Axt eines Moslems entkam, der ihn wie Theo van Gogh abschlachten wollte gemässs den Mordaufrufen des Koran.

Wir wissen,  wer die Wachhunde der westlichen Religionspolizei schützt und denen in den Rücken fällt, auf die sie losgelassen waren und die Watchdogs beim Namen nennen. Nach wie vor sind besonders die bekennenden Ex-Moslems, Apostaten und Konvertiten vom Islam den linken Religionswächtern ein Dorn im Auge. Schon Hirsi Ali wurde in linken Blättern diffamiert als «nützliche Idiotin»  und als Lügnerin  (TaZ und TA, auch NZZ), gewusst warum. Islamkritische Migranten und Dissidenten, deren Stimmen die vorwiegend linke Islamlobby zum Verstummen bringen möchte (man denke nur an die deutschen Dissidentendenunzianten à la Rohe, Rommelpacher, Schneiders&Konsorten mit ihrem Sprachrohr Deutschlandfunk), sind die wichtigsten Zeugen im Kampf gegen die Barbarei, die sie am eigenen Leib erlebt haben. Ginge es nach dem unter dem Titel «Islamfeindlichkeit» versammelten Denunzianten-Mob  Marke Rommelspacher u.ä. salafaschismuskonformen und IZRS-gefälligen Erscheinungen, müssten die Dissidenten den Mund halten und dürften nicht mal ihre eigenen Erfahrungen und ihre Verfolgung bezeugen (vgl. die Hetze der islamservilen willigen Helferin Rommelspacher gegen Necla Kelek).

Ex-Moslems im Westen, wie Ibn Warraq,  Autor von «Why I am not a Musim», – wie Sami Alrabaa, Islamexperte und Orientkenner, der die arabischen Hasspredigten in den Moscheen übersetzen konnte, die die Redaktionen nicht interessierten, und der vergebens vor der Scharia in Deutschland warnte;
– Konvertiten wie der islamverfolgte Mark A. Gabriel, ehemaliger Lehrer an der Al Azhar, heute Christ, der nach Einladung einer freikirchlichen Gruppe nicht in die Schweiz einreisen durfte im Gegensatz zu salafaschistschen primitiven Dumpfbacken (Frauenprügelbrüder sind herzlich willkommen und für Islamschönschreiber Schulze nicht gefährlicher als Christen), – sie alle sind als Islamkenner in den offiziellen Diskussionsrunden nicht gefragt, wo peinliche Apologeteninnen wie Amirpur oder Kaddor als «Expertinnen» aufgeboten werden.

Frauenrechtsverteidigerinnen wie die von Burkhard Müller-Ulrich angepöbelte islamverfolgte Taslima Nasreen, die gar nicht verfolgt sei (Neid auf den Tucholsky-Preis? Vielleicht  kriegt der Bursche, der die höchst islamunterwürfige Ajatollahverehrerin und Frauenrechtsverräterin Annemarie Schimmel als seine Kronzeugin gegen die islambedrohte Exilantin anführt und der die Massenvergewaltigungen im Balkankrieg für Erfindugnen der Frauen erklärte, ja mal einen Ajatollah-Khomeini- oder  Abubakar-Shekau-Preis. Der saubere Herr, dem Schneiders neue Kleider massgeschneidert sitzen, passt bestens in den islamophilen Rahmen des DLF,  der von Kapazitäten wie Lamya Kaddor &Konsorten inspiriert wird). Auch ein Geert Wilders kann sich im Gegensatz zum deutschen Dissidentenbepöbler Müller-Ulrich, der die grölende Männerhorde, die vor Nasreens Haus rumtobte und sie zu gern gelyncht hätte, vermutlich mit zynischem Grinsen geniesst, nicht mehr frei bewegen im freien Westen. Zusätzlich zu den islamischen Morddrohungen werden die Islamkritiker von linken Islamkomplizen gemobbt; linke Antizionisten, die den holländischen israelfreundlichen Politiker zum Nazi machen möchten und den Mord an Fortuyn wie den an Theo van Gogh insgeheim billigen, was gern als «Verstehen» bezeichnet, kennen keine Grenzen in der Dämonisierung der Islamgegner. Geert Wilders sähe man auch zu gern von der politischen Bühne beseitigt. Er durfte England  trotz Einladung zu einer Rede vor Parlamentarien nicht betreten. Ähnlich ergeht es dem Kritiker der deutschen Migrationspolitik, Sarrazin, der vom Parteien- und Proletenmob wie ein Aussätziger behandelt wird, auch grenzüberschreitend, – so in England, wo ein linker Mobber eine Veranstaltung an der London School of Economics mit Sarrazin und Broder störte und zu sabotieren versuchte, und auch in der Schweiz, wo ein Hotel in Luzern ihn nicht als Gast aufnehmen wollte, angeblich mit Rücksicht auf jüdiche Kunden. Nun ist aber nicht bekannt, dass Sarrazin Juden diskriminiert oder gar wie Linksfaschisten an Moslemsdemos gegen Israel mitkrakeelt.

Hirsi Ali muss ihre Bodygards selber bezahlen, da die Behörden von Amsterdam sie nicht weiterhin schützen. Zu kostspielig. Für diese Kosten machte man allerdings nicht die Moslems verantwortlich, die – im Einverständnis mit den linken Hetzern – daran interessiert sind, dass sie zum Schweigen gebracht wird, sondern die Verfolgte, die gegen die Religionsbarbarei protestiert («Ich klage an“ etc.). Die Opfer sind schuld, wie schon nach dem Mord an Theo van Gogh die linke Islamlobby wusste: er hat seine Abschlachtung nach moslemischem Schächtungsritual (wobei Koranverse auf dem Körper des Opfers befestigt wurden) «provoziert».  Blame the Victim, eine alte Regel der Barbarei.

Es waren linke Kommentatoren, die postum nicht nur klammheimlich Gefallen fanden am Verstummen  des libertären Regisseurs, der kein Blatt vor den Mund nahm, und sich erlaubte, den Religionsterror, der von linken Denkverboten bewacht wird, nicht zu respektieren, und die bis heute erklären, die Gemobbten und Ermordeten sind selber schuld, wenn sie gelyncht werden.

So heulten die deutsche Dhimmimedien im Chor zur Ermordung des (isloamophilen!) amerikanischen Gesandten in Benghasi, Chris Stevens, auf: der Mord (der lange geplant war von der Terrororganisation) sei die Reaktion auf die «Provokation» durch ein privates Mohammedverulkungsfilmchen gewesen. Die EU-Repräsentante Ashton entschuldigte sich noch bei den dauerebeleidigten Moslems, statt die Meinungsfreiheit ohne Wenn und Aber zu verteidigen. (Der Protest eines EU-Parlamentariers gegen diese Islam-Unterwürfigkeit der EU-Schranze, den ich nur im holländischen Radio hörte, wurde in deutschen Medien ignoriert. Kein Thema für die deutschen Bejubler des arabischen «Frühling». )

Hamed Abdel Samad, der nach Deutschland emigrierte Korankritiker und Politologe, wurde als Apostat ebenfalls mit dem Tod bedroht (u.a. mit einer Fatwa eines Scheichs); vielleicht würde er in der Schweiz von einem «Scheich»  aus der Bieler islamischen Burschenschaft angezeigt, wer weiss, der auch jüdische Islamkritiker anzeigt. Hamed Abdel Samad nannte   den Islam einen Faschismus (mit alten Wurzeln), was er in seinem Buch «Der islamische Faschismus“ analysiert. Ein Buch, das man auf dem Claraplatz in Basel, wo die Hetzschriften der Salafaschisten straffrei verteilt werden, nicht so ohne weiteres anbieten könnte, ohne von «Der Religionsbeauftragten» der linksgrünen Islamlobby behelligt zu werden, die auch gern mal brachial zupackt, um dem linken Begriff von Meinungsfreiheit zur Geltung zu bringen.

In Spanien ist es der gebürtige Pakistani Imran Firasat, der als Ex-Moslem noch weiter geht als Hamed Abdel Samad und ein Verbot des Koran forderte. für deutsche Journalisten ist er so gut wie nicht existent. http://www.pi-news.net/2012/03/spanien-ex-moslem-fordert-koranverbot/ :Seine Website
http://www.mundosinislam.com/

Das ist der Hintergrund, vor dem das Blick-Interview mit Sabatina James gewürdigt werden muss. Im übrigen sind die Reaktionen schon von den Kommentaren zu Hirsi Ali bekannt, die «ihr Thema gefunden» habe, wie die frühere BaZ feststellte, die noch von keiner Islamkritik  etwas wusste und deren Beilage, das linksdrehende «Magazin» in der gebürtigen Somalierin eine Gefahr für den Rechtsstaat erblickte. Für den «Spiegel» war sie so «fanatisch“ wie die Terroristen…

Schon die einheimischen Islamkritiker sind den deutschsprachigen Medien ein Ärgernis (in Deutschland wie Österreich oder der Schweiz), die man als «islamophob» stigmatisiert. Mit den Ex-Moslems geht das nicht ganz so leicht, sie werden daher weitgehend ignoriert.
So wurde die Idee, Hirsi Ali Asyl zu gewähren in der Schweiz, nachdem sie die Niederlande hatte verlassen müssen (der Vorschlag kam von dem SVP-Jungpolitiker Lukas Reimann), in aller Stille beerdigt. Sie wäre womöglich nach dem ARG  als Rassistin angezeigt worden von den Religionswächtern, was die linken Migrationsfans in Verlegenheit gebracht hätte. In der Schweiz gilt die linke Denkverordnung: Schweizer können nicht rassistisch beleidigt werden, Schwarze oder Farbige können keine Rassisten sein. Der Schwachsinn der Linken käme sich da selber ins Gehege. Bei Fallaci versuchten sie es mit einem Auslieferungsgesuch an Italien, um sie in der Schweiz als Rassistin anzuklagen! Es sind dieselben Kriminellenförderkreise, die die Auslieferung von Schwerverbrechern in ihre Herkunftsländer verhindern.

Sabatinas Aussagen zum Islam und die Kuschkultur seiner Kollaborateure, über die moderaten Moslems, die nicht aufgrund des Islam moderat sind, sondern trotz ihm, sind Islamkritikern zwar geläufig, aber nicht unbedingt ungestraft erlaubt. Es sind vor allem die Bedingungen, unter denen sie zustande kommen, nämlich unter der Strafandrohung des Rassismusgesetzes, die alle Aufmerksamkeit verdienen, während die Islamlobby sie ignoriert. Die für Kriminelle aller Länder ach so so offene Schweiz ist für Islamkritiker durch das ARG verbrettert.

In der Schweiz können Salafaschisten in aller Öffentlichkeit wie in Basel Hass- und Mord-Aufrufe gegen die Ungläubigen verbreiten in Form von «heiligen Schriften», während die islambedrohten KritikerInnen der Zwangs- und Gewaltehen untertauchen müssen; da können präpotent patriarchal muffelnde Bartburschen und Frauenprügelfreunde «Fatwen» erlassen,  die von einem bestimmten Typ einheimischer Meinungszensoren von Gartenzwergenformat auch noch anerkannt werden. Da können Vergewaltiger immer mal wieder frei herumlaufen; die Mehrzahl dieser Spezies der bunten  Kulturbereicherer kommt aus den bekannten Macho-Kulturen mit vielfach moslemischen Bodensatz, der von linken Weibern und Schmarotzern der Asylindustrie umschwärmt wird; die Machofreunde heulen waidwund auf, wenn nur ein Gewaltverbrecher, mit dem sie sich offensichtlich indentifizieren, «zu lange» eingesperrt werden soll oder gar ausgewiesen, was die EU verhindert; der Schweizer Verbrecherschutz ist extrem ausgebaut und EU-kompatibel. Dagegen wird die Hatz gegen Kritiker islamlegaler Verbrechen an Frauen, Kindern sowie ungläubigen Männern ungeniert fortgesetzt und in linken Medien  wie der TagesWoche wird ein totalitäres Gedankengut gepflegt, gemäss dem  die «Problematisierung» des Islam die «Gefahr» ist, wie der über Basel hinaus bekannte Georg Kreis es formuliert. Der Professor scheint schon ein Problematisierungsverbot zu erwägen? (Was sich ganz besonders reizvoll als Wissenschaftsrichtlinie auswirken dürfte.)

In diesem Klima ist das Interview mit der Islamkritikerin im Blick nur zu begrüssen. Es konfrontiert den Club der kleinkarierten Kritikphobiker und Problemverleugner, die in der «offenen Schweiz» in Sicherheit sind, wo nicht nur in Zwangsehen eingesperrte Frauen wie im Gefängnis leben, sondern auch Kritikerinnen dieser Zustände unter Polizeischutz unfrei sind und ihre Auftritte absagen müssen wegen Todesdrohungen, mit seiner Verlogenheit,  seiner moralischen Verkommenheit und intellektuellen Armseligkeit. Die Leser kennen den Islam inzwischen besser als die Redaktionen, wie alle offenen Kommentarbereiche zeigen, die schnell geschlossen werden, wenn es hart zur Sache geht und der wahre Islam vorgeführt wird; von den offiziellen Wachhunden der Kuschkultur traut sich da kein Hund mehr hervor.
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Die beliebtesten Kommentare zum Interview, die zeigen, wo der Hund der Kritikverbote begraben ist:

H.A., Kriens
WOW! Hut ab! Das denke ich schon lange. Man muss den Islam verbieten! Die meisten angepassten sind doch eh Schafe im Wolfspelz! Will mir nicht vorstellen, was passiert, wenn die mal in der Ueberzahl sind! Europäer und Schweizer öffnet die Augen!
14.11.2014
4015 Zustimmung
279   Ablehnung

Hans  Scheidegger , La Chapelle Naude
Gratulation an Sabatina James! Mutig enthüllt sie klar und deutlich das wahre Gesicht der radikalen Islamisten. Diese sind für mich die Wölfe im Schafspelz; nicht zuletzt zähle ich bei uns den Islamischen Rat der Schweiz, IZRS, dazu. Dessen Präsident, Nicolas Andrev Blancho, wäscht seine Hände immer in Unschuld, auch wenn er Hassprediger zu uns einlädt, und er unsere jungen Leuten bewusst nicht davon abrät, in den Dschihad zu ziehen. Die Bücher von James öffnen uns die Augen!
14.11.2014
3243 Zustimmung
110    Ablehnung
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